DÉPARTEMENT DU PUY-DE-DÔME | Saint-Saturnin | A.V.A.P. | Règlement | Octobre 2016
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2A-2. PARCELLAIRE ET EMPRISES BÂTIES
2A-2.1. Tracé parcellaire
- Les voies et anciens cheminements seront conservés.
- Dans le cadre d’un regroupement ou d’un redécoupage de parcelles, la lisibilité du
découpage parcellaire d’origine pourra être imposée, notamment dans le secteur de la
Cheire où les limites parcellaires anciennes correspondent à des épierrements.
- Toute modification de structure (agencement, proportion, trame parcellaire …) se fera
dans l’esprit de ce qui les caractérise.
2A-2.2. Espaces libres protégés
- Les secteurs repérés comme espaces à caractère végétal remarquable ne peuvent
pas être bâtis. Les constructions nouvelles ne sont pas autorisées sauf celles
strictement nécessaires à leur entretien et leur bon fonctionnement, dans le respect des
caractéristiques paysagères dominantes de ces espaces.
2A-3. ESPACES EXTÉRIEURS PUBLICS : VOIRIES ET MOBILIER
2A-3.1 Voiries
- A l’exception des voies principales des bourgs, les voies de circulation pourront être
revêtues d’enrobé à condition d’intégrer un maintien d’aspect naturel.
- Les sentiers existants en terre, sablés ou empierrés devront être maintenus en l’état.
L’emploi de tout autre revêtement sera interdit.
- Les revêtements de couleur vive sont proscrits.
R
Les revêtements perméables seront favorisés.
R
L’absence de délimitation stricte des chaussées permettra d’offrir un aspect
moins urbain et d’avoir des abords propices à la végétation.
R
Le mobilier urbain y sera limité au strict nécessaire.
R
Les bordures seront si possible enherbées, non artificialisées (sans trottoir)
DISPOSITIONS RELATIVES AU PAYSAGE, ESPACE URBAIN ET ESPACES EXTÉRIEURS - SECTEUR S2 D’EXTENSION RÉCENTE
Parcellaire et emprises bâties
Les terrassements doivent être pensés de manière à s’insérer au mieux dans le paysage
environnant, en en limitant les hauteurs, notamment.
Les voies principales peuvent être revêtues d’enrobé mais doivent maintenir un aspect
naturel sur les abords (pas de bordures, de mobiliers, etc.).
Les équipements techniques doivent être mutualisés ou intégrés au sein d’édifices lorsque
cela est possible. Leur impact sur le paysage urbain doit demeurer limité.